Sommaire de ma page "Pédagogie en Vrac" :
1/ Présentation détaillée du livre "Réveiller le désir d'apprendre" qui propose le petit tour de la planète des méthodes qui marchent".
2 /Quelques citations sur "L'innovation et la réussite"
3 /Éducation et Réussite en Finlande 2 /Quelques citations sur "L'innovation et la réussite"
4 / L'Environnement personnel d’apprentissage (EPA) en formation
5 / Cinq qualités pour réussir professionnellement
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1 - Réveiller le désir d'apprendre (Agnès Baumier-Klarsfeld)
Ce livre est présenté comme "le petit tour de la planète des méthodes qui marchent".
Mes notes ( recopies de sommaire, de passages clés, ou de synthèses) sur cet ouvrage vous donneront envie de le lire, ou vous apporteront des pistes, j'espère.
CHAPITRE 1 : "Motivation, en parler pour progresser"
Questionner les élèves sur leurs motivations : Qu'est-ce que j'aime vraiment faire ? Qu'est-ce qui me pousse à travailler ? Cette méthode de questionnement est issu des travaux de Katleen Cushman qui a travaillé plus de 20 ans sur le sujet.
Réponses des élèves : Pour apprendre, il faut se sentir concerné, être actif...il faut que l’apprentissage soit suffisamment mais pas trop difficile, la présence d'un coach est très utile...Les connaissances nouvelles doivent servir à quelque chose...il faut avoir du temps pour penser à ce qu'on a appris.
CHAPITRE 2 : "Motivation? paroles d'élèves, paroles d'experts"
On apprend parce qu'on s'en croit capable. Les projections jouent un rôle majeur dans le succès ou l'échec, si on dit à un élève qu'il est bon, il le sera et inversement.
Encourager ne réussit pas à garantir le succès, l’enfant a d'avantage besoin de savoir qu'il réussit à apprendre du fait de la plasticité de son cerveau...
On apprend mieux à plusieurs : sans interaction, un individu ne peut pas apprendre correctement, travailler en petit groupe permet des feed back réguliers ...
"Les élèves ne sont actifs et donc performants que lorsqu'ils posent des questions, échangent...C'est pour cela que j'alterne de courts exposés et des moments où je les incite à débattre avec leurs voisins pour trouver la bonne réponse aux questions posées à la classe..."(page 61)
On apprend mieux quand on ressent le besoin de savoir d'où la nécessité de mettre les élèves en situation de résolution de problème...apprentissage par la pratique au Danemark.
On apprend mieux quand c’est utile : Ex de l'association Transapi stimule l’envie d'apprendre des décrocheurs en les impliquant dans des initiatives ambitieuses qui les valorisent : crée des Moocs pour remettre à nouveau d'autres décrocheurs
On apprend mieux un "savoir relié à la vrai vie" => lier les apprentissages à la vie quotidienne (Expérience en Colombie de Vicky Colbert dans les écoles rurales)
On apprend mieux quand on a le choix (Travaux d'Edward Deci et Richard Ryan qui relatent l'expérience de Google : un jour par semaine les salariés choisissent le sujet sur lequel travailler page 78)
En restreignant autonomie des jeunes, on assèche rapidement leur créativité
On apprend mieux quand on sait comment s'y prendre pour apprendre
Howard Gardner (d'Harvard) a détecté 9 formes d’intelligence complètement indépendantes les unes des autres. L'école n'en met que quelques une en valeur : l’intelligence verbale et logico-mathématique, l’intelligence spatiale et naturaliste. (page 83)
La capacité de concentration est indispensable pour apprendre, le stress, le manque de sommeil ou une mauvaise condition physique l’atténue. On peut cependant améliorer cette capacité en la travaillant grâce au yoga, à la pratique d'un instrument de musique, à la danse,aux arts martiaux...(p 88)
L'apprentissage est stimulé quand il y a des feed back...
Enseigner à d'autres ce qu'on a appris est un moyen formidable de stimuler une connaissance.
CHAPITRE 3 : "La puissance des émotions"
Apprentissage et émotions sont intiment liés
la lecture à voix haute crée une émotion.
Il y a dans la tradition éducative française une forte méfiance envers l'émotion. La sensibilité fait peur (page 102).
Nécessite d'identification avec l'enseignant.
L'émotion nait facilement dès qu'on aborde les questions existentielles et intimes.
Le plaisir de la compréhension est probablement l'émotion la plus forte que peut faire vivre un enseignant.(p 108)
L’enseignant doit créer une atmosphère paisible et sécurisante pour favoriser les apprentissages.(p 109)
Le lien entre la capacité d'empathie des enseignants et les performances scolaires des élèves est aussi clairement établi (p 114).
CHAPITRE 4 : "Jouer, c'est aussi apprendre"
Les maternelles françaises se sont beaucoup rapprochées ces dernières années de la grande école. On y "travaille" et pourtant le jeu permet d'apprendre efficacement et à tout âge.
Le jeu est particulièrement important pour développer la créativité.
Les
jeux pourraient apporter beaucoup notamment pour familiariser un
domaine avant de rentrer dans les apprentissages méthodiques puis pour
favoriser les répétitions nécessaires à la mémorisation.
"Mon
fils a beaucoup plus appris sur la révolution française en jouant à
Assasin's Creed Unity qu'en assistant à ses cours d'histoire."
Quand on joue le fait de recommencer encore et encore n'est pas un problème.
Dans
le jeu, on échoue à une mission et on repart à l'assaut personne ne
vous juge on peut souvent d'ailleurs régler soi-même le niveau de
difficulté. Le jeu propose des feed-back très nombreux, immédiats,
précis et sans jamais de regard condescendant avec contraire la
possibilité d'apprendre de ses erreurs.
François, instituteur
pédagogeek, qui partage ses trouvailles sur son blog "Sicest
pasmalheureux" raconte les défis mathématiques qu'ils organisent dans sa
classe de CE1 où les enfants rivalisent en calcul mental, les plus
rapides grimpent d'un niveau à la séance suivante, ce qui augmente la
difficulté des calculs proposés. Les applications utilisées comme AB
Maths ou popMaths motivent énormément les élèves qui réclament tous les
jours le défi maths et les résultats sont à l'image de leur motivation,
au top.
Ces jeux permettent aux enfants de s'adapter à leur rythme personnel.
En
ce qui concerne les logiciels de création, l'application Scratch
(traduit en plus de 40 langues) permet aux enfants de fabriquer des
jeux.
En ce qui concerne l'apprentissage par
les jeux vidéos, le principal obstacle est le suivant : les enfants sont
habitués à des jeux commerciaux de très grande qualité. Alors pour
l'instant, il n'existe que très peu de jeux spécifiquement destinés à
l'enseignement avec le même niveau de sophistication.
Depuis
le début des années 2000, des jeux sérieux très ambitieux commence en
effet à se multiplier à l'initiative de quelques pionniers.
Jane
Mac GoniGal s'interroge, "et si on passait autant de temps, un total de 6
millions d'années ont été consacrés à résoudre les problèmes du jeu
"World of Warcraft" à utiliser cette même énergie pour résoudre les
problèmes du monde ?
D'autres visionnaire autour de
l'association Games for change partage cette idée de jeu vidéo capable
de résoudre les grands défis actuels, en association les intelligence du
monde entier.
Un jeu de biochimie baptisé "Foldit", lancé en
2007 a attiré ainsi des centaines de milliers de joueur de tous les
milieux et de tout âge et a permis de faire progresser la recherche
contre le sida, en aboutissant à trois publications scientifiques dans
la prestigieuse revue "Nature", ces dernières années.
Au
niveau international on assiste à une explosion du nombre d'applications
éducatives destiné aux jeunes enfants mais les jeux pour adolescents à
visée d'apprentissage, commencent aussi à se multiplier. Il faut l'objet
d'un investissement croissant, de nombreux acteurs s'y intéressent, venus de
l'univers du jeu comme de l'univers scientifique, constate Katie Salen, directrice de l'institut du jeu créé à New York en 2007, lors
de la conférence mondiale sur l'éducation organisée par la fondation
qatarie WISE spécifiquement dédié à ce thème du jeu en 2013. Les projets
sont incroyablement divers. Sous l'égide de cette institut du jeu, une
école publique hors norme a été créée à New York "Quest to Learn", une
école laboratoire qui teste en grandeur réelle une pédagogie fondée sur
le jeu avec l'ambition de faire tache d'huile au sein du système
scolaire américain.
Un professeur de physique
québécois Shawn Young a pour sa part imaginé un jeu qui ludifie la vie
de classe. Chaque élève participant à ClassCraft se choisit un avatar
personnalisé, guérisseur, mage ou guerrier. En ayant de bons résultats
scolaires, et en aidant ses coéquipiers, il gagne des points
d'expérience qui peuvent déverrouiller les pouvoirs très réels comme
la possibilité de manger en classe, ou de poser une question lors d'un
examen. Le jeu, fondé sur des principes très proches de la pédagogie
institutionnelle a déjà été traduit en huit langues et annonce plus de
100 000 professeurs utilisateurs.
Le MIT, est aussi à la
pointe des innovations dans le domaine grâce a son centre de recherche
Education Arcade. Ses équipes ont conçu par exemple des applications sur
téléphone mobile pour enseigner la génétique aux lycéens en programmant
des monstres.
Avec Mars génération One, Argubot conçu par
une start up Californienne, Glasslab, il s'agit cette fois d'enseigner à
argumenter. Le jeu se déroule sur la planète Mars, tout est à organiser
et comment s'y prendre ?
Les joueurs s'affrontent via des
robots qui cherchent à convaincre les autres du bien-fondé de leurs
propositions... En Inde, dans un tout autre registre, le projet Millee
enseigne l'anglais aux jeunes villageois via des applications mobiles
en tirant partie de leur attrait pour les jeux traditionnels joués dans
les zones rurales.
Les Finlandais vont loin sur cette voie de
l'apprentissage, Rovio, l'entreprise qui a imaginé produits les Angry
Birds le jeu vidéo le plus téléchargé du monde, a conclu à l'automne
2014 un partenariat avec le département d'éducation de l'université
d'Helsinki concepteur du système scolaire finlandais considéré comme
l'un des plus performant de la planète. Une structure de recherche
commune était créée, le Playful Learning Center, les universitaires
soutenant également le développement de FunLearning, filiale de Rovio
entièrement dédiée aux jeux pour apprendre.
Moins d'un an plus
tard alors que l'entreprise mère peine à réitérer son succès dans
le domaine des jeux grand public, Funlearning a mis au point une formule
d'école maternelle par le jeu qu'elle commence à promouvoir en Chine. Rovio a également signé des accords avec la NASA avec National
Geographic et Le CERN pour imaginer des jeux vidéo d'apprentissage
destinés aux plus grands avec une ambition clairement mondiale.
Au
Japon depuis le printemps 2015 les lycéens qui ne peuvent ou ne
veulent plus aller en classe, qu'ils soient malades ou qu'ils aient
souffert de harcèlement par exemple, ont la possibilité de suivre leur
scolarité secondaire dans le premier lycée virtuel du monde, le lycée
privé Meisei, fréquenté uniquement par des avatars ! L'enseignement est
organisé par module très courts et quotidiens, placés au sein du jeu.
Les élèves y jouent à apprendre et apprennent effectivement en jouant.
CHAPITRE 5 : "Dompter les écrans"
Au Danemark les élèves ont accès à Internet pendant les examens mais on les forme pour éviter l'addiction au réseau. En Californie, on apprend désormais aussi aux jeunes zappeurs à décélérer et à prendre le temps de vivre.
De nombreuses formules pour accéder aux technologies éducatives se développent très rapidement :
- Start up Edtechs, Udemy, Udacity aux Etats Unis, Kungfu Maths à Singapour
- Des associations : Khan Academy (USA)
- Zuckerberg (Facebook) avec Alts Chods
En France Livementor propose du coaching à distance
En Inde, Albert-Learning propose des cours d'anglais bon marché
Carpe Dièse : leçons de musique par Skype
En France, Les Bons profs , Schoolmouv, Digischool, Edupad...
A noter que dans certains pays (Canada, Finlande, Danemark), les élèves peuvent contacter des enseignants et leur demander de l'aide par internet.
Les écrans permettent une ouverture et une collaboration vers l'extérieur : création de communauté disciplinaires Weblettres, Clionautes, Sesamaths, Viaedu en France Teachpitch (plateforme anglaise à votation mondiale)
Le Edutopia propose une multi sélection d'outils. Voici quelques sélections très intéressantes (facile à comprendre avec un traducteur )que j'y ai trouvées :
5 Ways to Help Students in Trauma - The Value of an Authentic Audience
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4 Strategies to Energize and Focus Your Students
CHAPITRE 6 : "Des langues très vivantes"
La France et l'avant dernier pays européen pour la maîtrise des langues étrangère. Pourtant, les nouvelles technologies rendre incroyablement facile cette ouverture au monde.
CHAPITRE 7 : "Le goût des sciences "
Les jeunes Asiatiques ont des résultats impressionnants sur le plan scientifique. Ce n'est pas uniquement le résultat d'un travail de titan.
CHAPITRE 8 : "Écrire pour apprendre à écrire
Les élèves français copient beaucoup, étudient les règles de grammaire, mais écrivent très peu de textes personnels. Or les anglo-Saxons nous montrent que c'est en écrivant souvent qu'on apprend à bien écrire..
CHAPITRE 9 : "Professeurs de réussite"
Soutien, encadrement, ouverture. Une pratique canadienne originale et efficace pour éviter le décrochage scolaire.
Ne décourager personne, soutenir au maximum.
CONCLUSION
Pour s'engager dans leur travail, les jeunes ont besoin de se sentir compétents. Mettre chacun en position de réussir, c'est accorder un soin particulier aux premiers pas dans la scolarité.
Exemples de solution en Ontario : professeurs accessibles gratuitement en ligne et par téléphone tous les soirs pour l'aide aux devoirs, lycéens formé pour jouer les tuteurs bénévoles des plus jeunes, sessions gratuites de rattrapage l'été pour remettre à niveau ceux qui n'ont pas validé une matière, des cours quotidiens de méthode pour les décrocheurs.Possibilité de changer de classe suivant les matières pour suivre à son niveau, recours aux outils numériques à cet égard.
On sait que l'élève s'implique d'avantage dès qu'il possède une marge de choix dans ses études.
Possibilité de scolarité très modulable pour découvrir un maximum d'activités lors de la scolarité.
-Utiliser l’émotion (suspens, mystère...)=> Bruce Benamran : https://www.youtube.com/user/epenser1 propose des ressources stimulantes qui sont une excellente introduction à certains thèmes.
- Poser des indicateurs de bien être
- Associer les familles pour les guider à aider leurs enfants
- Aider les enfants à mieux se connaitre, leur dévoiler les stratégies d'apprentissage efficace
- L'Association "Viens voir mon taf" (aide les jeunes sans réseaux pour trouver des stages...)
2- Innovation et réussite
- "Celui qui n’a jamais fait d’erreur n’a jamais rien essayé de nouveau." (Albert Einstein
- "La plupart des choses importantes de ce monde ont été accomplies par des gens qui ont continué à essayer et à avancer quand tout semblait perdu." (Dale Carnegie)
- "Un tout petit peu plus de persévérance, un tout petit peu plus d’effort, et ce qui semblait un échec cuisant peut se transformer en glorieuse réussite." (Elbert Hubbard)
- "Si vous voulez accroitre votre taux de réussite, alors doublez votre taux d’échecs." (Thomas J. Watson, Sr)
- "C’est dur d’échouer, mais c’est bien pire de ne jamais avoir essayé de réussir." (Theodore Roosevelt)
- Le succès, c’est se promener d’échecs en échecs tout en restant motivé. (Winston Churchill)
- Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10 000 façons que ça ne fonctionnait pas. (Thomas Edison)
3- Education et Réussite
Principal de
la Kirkkojarvi Comprehensive School àEspoo (Finlande)
Il y a une quarantaine d’années, la
Finlande s’est penchée sur les réformes nécessaires à son système éducatif dans
le cadre d’un plan de sortie de la crise économique et a
fait le pari d’une école publique
égalitaire. Ce n’est que dans les années 2000 que le pays prit la pleine mesure
du succès de cette entreprise, quand les premiers résultats du PISA (Programme
for International Student Assessment), un test évaluant les connaissances des
enfants de 15 ans dans différents pays, révélèrent que les finlandais étaient les
meilleurs jeunes lecteurs au monde. Trois ans plus tard, ils étaient les
meilleurs en mathématiques. Et en 2006, la Finlande était en tête pour les
sciences, devançant 47 autres pays.
Kari Louhivuori est le principal de
la Kirkkojarvi Comprehensive School, à
Espoo, dans la région d’Helsinki.
La philosophie de l’école est simple
: apprendre aux enfantscomment apprendre, les préparer à la vie. Si une méthode
ne fonctionne pas avec un élève, c’est que la méthode ne lui est pas adaptée.
Lorsque l’un de ses élèves originaire du Kosovo est en échec scolaire complet
après plusieurs approches tentées par les professeurs, Kari Louhivuori n’hésite
pas à prendre des mesures extrêmes pour la Finlande : il le fait redoubler, ce
qui est très rare voire obsolète dans ce système éducatif. Il décide alors d’en
faire son étudiant personnel. Le jeune Besart, quand il n’étudie pas la
science, la géographie ou les mathématiques, est assis à côté de Kari lorsque
celui-ci enseigne, et il lit lentement un à un les livres qu’on lui donne, pour
finalement les dévorer par dizaines. À la fin de l’année, ce fils de réfugiés
de guerre kosovars a adopté la langue locale et réalisé qu’il pouvait comme
tous les autres apprendre ce qui lui était enseigné à l’école. Cet exemple
individuel en dit long sur les raisons du succès du système éducatif. Dans ’établissement
dirigé par Kari Louhivuori, 43% des
élèves sont issus de l’immigration. Un grand nombre d’entre eux ne parlent pas
le finnois à leur arrivée à l’école. Les professeurs de
Kirkkojarvi se sont adaptés au
nombre particulièrement important d’enfants ne parlant pas leur langue. Ils ont
créé des « classes préparatoires » qui permettent aux
enfants de commencer un
apprentissage en arts, en sport et en travaux pratiques, tout en appréhendant
la langue finnoise. Ils intégreront plus tard d’autres matières,
lorsque leur maîtrise du finnois le
leur permettra. Ces classes sont prises en charge par un professeur spécialisé dans
l’apprentissage multi-culturel. À Kirkkojarvi comme
dans tous les établissements de
Finlande, il n’y a pas de tests standardisés, que ce soit pour les professeurs
ou les élèves. Pas d’inspecteur de l’éducation nationale, pas
d’examen de fin d’année. Le seul
test standardisé est celui qui marque la fin du lycée. Avant cela, et à partir
du CM2, les élèves peuvent participer à des tests de fin d’année si
le professeur accepte la participation
de sa classe, mais c’est plutôt par curiosité que par esprit de compétition,
les résultats n’étant pas publiés. Louhivuori, comme le reste
du corps enseignant, a du mal à
comprendre la fascination des autres pays pour les tests standardisés, estimant
en savoir bien plus sur ses élèves que ne lui apprendrait
n’importe quel test. La Finlande
fait aujourd’hui figure d’exception éducative, et intrigue autant qu’elle
fascine par ses méthodes pédagogiques et ses résultats exceptionnels
5 - Environnement personnel d'apprentissage en formation
4 - Les cinq qualités pour réussir professionnellement
Voici
une vidéo de Faysal Hafidi à TEDxCasablanca qui présente les qualités
importantes pour innover et réussir professionnellement, décrites avec
beaucoup d'humour.
Les 5 qualités en question :
- Etre passionné
- Etre curieux
- Avoir de la visibilité / Avoir un objectif
- Etre créatif
- Etre sociable
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